Le Point – 6 Mai 2010 – 17,5- 18/20
Un nouveau régisseur à Léoville, François Bréhant, qui officiait auparavant dans le cru bourgeois Monbrison. Sinon, l’œil bleu malicieux du maître veille toujours au bon humour de la maison. Surtout, ne pas se prendre au sérieux, il y a à Bordeaux suffisamment de gens très adultes, très sérieux…
Vendanges du 23 septembre au 3 octobre. Anthony Barton : « Les gens me demandent pourquoi ils vendangent si tard. »
77% cabernet sauvignon, 22,5% merlot, 0,5% cabernet franc.
Nez frais, fruits noirs, cerise noire, bouche sensuelle, douce, élégante, très fraîche, vive, bien fruitée, serrée, séveuse, longue, bien vive.
La Revue du Vin de France – Mai 2010 – 18,5-19,5/20
Le profil du 2009 évoque le 1989, selon Anthony Barton. Nous pensons qu’il sera supérieur, avec une plus grande définition de fruit encore. C’est le jeune Léoville Barton le plus gourmand que nous ayons vu. Son fruit est savoureux et très expressif, sa bouche nette, avec des tanins polis. Un régal !
Aujourd’hui, fiers d’être les héritiers d'une famille depuis si longtemps liée aux vins de Bordeaux, Anthony Barton et sa fille Lilian perpétuent la tradition. Leur ambition commune est de faire de Langoa et Léoville Barton des vins toujours plus prestigieux.
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